2 juillet 2007
1
02
/07
/juillet
/2007
01:49
 Tes yeux
Lorsque chaque fois tu te trouves face à moi mon cœur est en émois
Toi et tes si beaux yeux, ceux qui me rendent merveilleusement heureux
Alors je m’empresse d’y plonger les miens, pour que ceux-ci s’y sentent bien
Pour qu’ils me montrent bien le chemin, celui de mes pensées les plus raffinées
Car sans délicatesse et de tendresse, j’aurais peur que celles-ci n’y meurent
Pour toi je serai l’illumination, celle que réclame notre passion
De mon corps je ferai un bouclier en or, celui qui rejettera tout les remords
De mes armes je ferai des poèmes comme ceux que tu aimes
Je t’habillerai de diamants, pour que je puisse te voir même aux confins du firmament
De cette si belle inspiration je te dédicacerais une constellation
Mais chaque fois que je suis avec toi, j’ai la sensation étrange que nous avons toujours été ensemble je te prends même pour un ange, oh oui tu l’es je le sais
De tes yeux j’ai parfois peur de m’en évader de crainte de ne pouvoir y pénétrer lorsque nous aurons encore envie de nous aimer
Mais chose dont je suis sur c’est d’être pour toi ton éternel amour celui qui fera de nous les amoureux les plus langoureux dans notre monde à nous, celui de gents heureux
Et j’en souhaite autant à tous ceux qui ont envie d’être comme nous affectueux et radieux de faire notre vie entière réunis même aux cieux M-Lise
| |
La petite-famille. La petite-famille.
-
dans
Fées et poèmes.