10 juillet 2007 2 10 /07 /juillet /2007 18:19

 

 

La Braderie de Lille.......
 
 
PREMIER WEEK END DE SEPTEMBRE,
 s'ouvre dès le vendredi soir, sous le manteau,
 l'internationalement connue Braderie de Lille
 
Le temps a été de la partie,
 à part quelques gouttes d'eau dimanche après - midi.
 Mais tous avais dejà leurs sacs à dos et autres musettes ou carioles bien remplies de précieuses trouvailles
 
 
 
 
 
 
    
BRADERIE DE LILLE
Foule et fouilles

   La météo n'a pas été trés clémente dimanche.

Le vent et la bruine ont dissuadé certains bradeux qui ont remballé trés tôt.

Mais l'esprit de la Braderie est toujours bien vivant !

 

  • Dimanche fin de journée... La Braderie touche à sa fin.
  • Une météo peu avenante a eu raison de certains bradeux, qui ont déserté les rues plus tôt que d'ordinaire.
  •  
    Même s'il n'a finalement pas plu (ou si peu), la météo a quand même dissuadé certains bradeux et certains chineurs.

 

C'était flagrant hier soir, quand à minuit la moitié des stands de l'Esplanade étaient déjà remballés.

 

 Et ça s'est confirmé aujourd'hui. A 15h de l'après-midi, certains trottoirs étaient déjà désertés.

 Point positif : du fait qu'il y avait moins de monde ce dimanche, il n'y avait aucun bouchon. Même rue de Béthune, on pouvait marcher à une allure presque normale.

Et le tas de coquilles du restaurant "Aux Moules" a quand même atteint ses deux mètres (ci-contre).


Je ne sais pas si c'est ma mémoire qui me joue des tours, mais j'ai l'impression qu'avant, plusieurs restaurants se prêtaient au jeu du tas de moules.

 Aujourd'hui, seul ce célèbre restaurant de la rue de Béthune semble perpétuer cette tradition.

 Les autres font des tas de moules qui ressemblent plus à des tas d'ordures, mélangeant les coquilles, les papiers, les barquettes en plastique et autres déchets.


D'ailleurs, d'année en année, la municipalité ne semble pas réussir à résoudre ce problème d'ordures.

 On peut toujours râler sur les promeneurs qui jettent tout par terre, mais le fait est qu'hier à midi, toutes les poubelles de la ville étaient déjà pleines et que forcément, aujourd'hui, la situation est catastrophique.

Sur la Grand-Place, qui n'est pourtant pas "bradante", on marche sur les détritus en tout genre.

 Mais cela n'a rien d'étonnant, puisqu'il n'y aucune poubelle installée pour l'occasion.

Les tas s'improvisent ça et là, et je me sens un peu honteuse en me baladant ici avec des amis venus de Marseille. (photo à droite)

A l'Esplanade et à Lebas, comme beaucoup de stands ont été démontés tôt, la fin d'après-midi se prête déjà bien à la glânerie : tout le monde jette un oeil dans les tas d'objets invendus et abandonnés.

Moi-même, je n'échappe pas à la curiosité de retourner quelques cartons.

Mais il ne faut pas rêver, il n'y a pas de trésors enfouis.

Je récupère quand même deux boites de disquettes neuves. Mais je sais déjà que j'en ferai pas grand chose... à l'heure des clés USB et autres CD gravés, les disquettes semblent déjà d'un autre temps.


Dans le Vieux-Lille, où la plupart des étals sont ceux des commerçants du quartier, il y a encore quelques affaires à faire.

 Ma récolte ayant été jusque là plutôt mauvaise, je craque sur une jolie écharpe neuve à 2 euros. Victoire !

Je ne repartirai pas bredouille !
Rue d'Amiens, je m'arrête devant un stand où mon oeil a été attiré par un 33 tours de Chantal Goya.

Sur la pochette, elle pose avec Tintin et Milou.

 Je m'étonne qu'il n'ait pas été vendu.

 La jeune fille qui tient le stand m'interpelle : "Servez-vous, tout est gratuit !".

Du coup, je fouine un peu, mais rien ne m'intéresse, ni ces deux petits gobelets en plastique même si elle me soutient qu'il s'agit de coquetiers, ni son abat-jour en verre même si elle me soutient qu'il s'agit d'un bol troué et que c'est super original !

La Braderie touche à sa fin, il est l'heure de faire un dernier repas dans cette ambiance si singulière.

Je m'en vais rejoindre mes amis. En espérant réussir à les convaincre de retourner à l'Esplanade pour les derniers concerts de la journée.




 

L'heure des moules ?

J'en ai plein les pattes...

 

J'ai mérité mes moules-frites ?
Combien de kilomètres est-ce qu'on parcourt en une après-midi de Braderie ?

 

 

La question revient toujours.

 

 

 Promis, si je trouve un podomètre demain, je l'achète pour pouvoir répondre à cette question l'année prochaine !

 

 

 

 

Le tas de Moules, Place Rihour à Lille , a LA CHICOREE Merci ma LOULOUTTE  de ton documentaire

publié par m-lise

 

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