2 juin 2009 2 02 /06 /juin /2009 03:10
           
             
 
 
Ce billet et pour tout ceux qui aiment les loups ou qui les défendent ,
et aussi à ceux qui aimerais le faire .
 
 
 
Le loup et l’homme
 
 
Haïs par les pionniers et les éleveurs, les loups sont devenus des ennemis à abattre en 1900. Il a été exterminé dans tout l’Ouest américain mais également en Europe.
 
Le dernier loup français aurait été tué dans le Limousin en 1937. C’est en 1992 que l’on aperçut, par hasard, deux loups dans le parc du Mercantour, dans les Alpes. On pense qu’ils venaient d’Italie. C’est seulement cette année là que le loup a obtenu le statut d’espèce protégée en France.
Il a également fait sa réapparition en Suisse, en Allemagne, en Finlande et même en Israël.
Quand On parle
Du loup !
Contes des forêts profondes
Du fantastique à la facétie, à travers les récits populaires, Compère Loup
hante nos imaginaires. Loups-garous, loups benêts, loups guides, mariages
avec lui, transformations, louve protectrice des enfants, messe des loups...
Selon le public, puisant parmi une dizaine de contes merveilleux, parodiques
ou effrayants, le voyage est toujours différent. Loup y es-tu ? Que fais-tu ?
J’ai une faim de loup ! Des histoires dévorantes !
 
                         
                              
 
Le loup et l’homme
 
La Louve était et est toujours l'emblème de Rome, symbole de fécondité et de protection. Les jumeaux Romulus et Remus abandonnés au bord du Tibre furent recueillis, nourris et élevés par une louve, celle-ci devient donc l'emblème de la ville et sera par la suite vénérée par tous les citoyens de l'Empire. Le loup est à la fois le symbole du père Mars et de la mère nouricière du premier roi de Rome.
A Rome toujours, de la graisse de loup frottée sur la porte de la maison des nouveaux époux leur portait bonheur.
Il est également à noter que les prostituées romaines était appelées lupa : « les louves », terme qui donnera le mot lupanar désignant une « maison close ».
 
 
                                            
                 
 
 
La peur du loup:
 
C'est le christianisme qui à associé le loup au diable, bras vengeur de Dieu punissant les populations locales pour leur manque de foi. Autrefois, les civilisations de chasseurs s'identifiaient au loup en s'inspirant de sa structure sociale et de ses techniques de chasse .
 
Du loup, on retient aussi la gueule. En France, être avalé par le loup n'est pas forcément une horreur: en ressortir, c'est avoir subi une initiation vers la lumière .
 
Rites et coutumes:
 
"Avoir vu le loup" était signe de maturité chez l'homme, et de sexualité chez la femme, dont la virginité était alors mise en doute.
 
En Europe on exorcisait le danger en jouant de la vielle, du violon ou de la cornemuse. Comme on croyait le loup et l'agneau ennemis, on utilisait la peau de l'agneau pour la cornemuse et ses boyaux pour les cordes du violon et de la vielle pour repousser le loup .
 
 
 
 
                      
      
 
 
La Bête du Gévaudan
 
    Dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, la France allait être le théâtre d'une affaire exemplaire, qui fait encore parler d'elle deux siècle plus tard. Au début de 1764, jeunes vachers et vachères du Gévaudan et du Vivarais racontent aux leurs qu'un gros chien a fait mine de s'élancer sur eux plusieurs fois; vaches et boeufs les ayant défendus, l'animal prit la fuite. Ces incidents ne firent pas grand bruit jusqu'à la découverte des pauvres restes de Jeanne Boulet, âgée de 14 ans, native des Ubas, paroisse de Saint-Etienne de Lugdarès. Son acte de sépulture, daté du 1er juillet indique qu'elle fut tuée par "la bête féroce".

Ces attaques avortées et cette première victime constituent le point de départ d'une affaire qui allait durer 3 longues années. L'affaire de " la bête qui mangeait le monde" s'acheva le 19 juin 1767 par la mise à mort d'un animal qui "parut être un loup, mais un loup extraordinaire et bien différent par sa figure et ses proportions des loups que l'on voit dans ce pays". Toute l'histoire de la bête du Gévaudan tient dans ce "mais". Elle serait simple si l'identification de l'auteur de ces crimes ne laissait encore planer suffisamment de doutes pour alimenter la polémique.
    Du Gévaudan à Paris:
Six mois après les premières attaques, les autorités locales adressent à l'Intendant du Languedoc, en suppliant d'accorder la permission d'attrouper les gens en armes. L'heure est grave. Face à la multiplication des victimes, la mutilation des corps et l'audace toujours croissante de celle qu'on n'ose plus nommer autrement que "la Bête", les gens ont peur. On informe la cour, des groupements de chasseurs se constituent, des battues s'organisent. Deux victimes en août, 5 en septembre. Enfin Duhamel intervient avec ses dragons. Réquisitions et battues indisposent les villageois sans que pour autant la tuerie cesse. On compte 18 morts fin décembre 1764. Le 27 janvier 1765, le roi offre 6 000 livres de récompense qui s'ajoutent aux 400 des diocèses de Mende et de Viviers, au 2 000 des Etats Généraux du Languedoc et aux 1 000 livres de l'évêque de Mende. Une fortune pour sauver le pays. Janvier, 11 victimes, février, 6. Le roi, soucieux de rétablir enfin la tranquillité dans cette région, envoie Denneval en Gévaudan; il a 1 200 loups à son tableau de chasse. Faute de résultats probants, Antoine de Beauterne, porte-arquebuse du roi et lieutenant de ses chasses, le remplace. Le 24 juillet, Antoine identifie clairement l'empreinte relevée auprès d'une des victimes. Cela mettre-t-il fin aux fables qui courent? Hyène, bête fabuleuse, hybride d'ours et de louve, monstre échappé d'un cirque, fléau de Dieu, instrument du Diable, sadique, loup-garou....Pour preuve: affûts, battues, courses, appâts empoisonnés, rien n'y fait. C'est donc que ce ne sont pas les loups. Les évêques demandent que l'on prie, Antoine exige des chiens de louveterie. Enfin, le 16 septembre, ils arrivent à point nommé; car le 17, des loups sont signalés dans les bois de Pommiers. Le 21, au cours de la battue, Antoine abat un grand loup. Le 4 octobre, un second est tiré ainsi qu'un louveteau; le 14, la louve est tuée; le 30, un autre louveteau connaît le même sort. Les attaques cessent. Le pays se croit délivré. Il y eut 57 victimes en 9 mois. Tous très jeunes.
   La bête ne meurt pas:
Mais le 2 décembre 1765, 2 enfants sont attaqués dans les parages où il y eut tant de victimes. Le 21 du même mois, Agnès Mourgues, 11 ans, est tuée. La tête arrachée du corps, le cou, les épaules, la poitrine ont été rongés. Puis les morts se succèdent à nouveau. D'une jeune fille, il resta si peu que le curé ne voulut pas établir d'acte de sépulture.
Devant la carence des pouvoirs publics, pèlerinages et retraites de prières se multiplient. Au cours de l'une d'elles, Jean Chastel fait bénir son fusil et trois balles qu'il à tirées du plomb fondu de médailles de la Vierge. Il tue un loup la 19 juin 1767 dans les bois de la Tenazeyre et sa louve le 27. Il n'y aura plus de morts. Du 1er juillet 1764 au 12 juin 1767, les autorités recensèrent officiellement 99 victimes, sans compter les blessés ni ceux qui furent quittes pour la peur.
La légende de la Bête était en train de naître.
 
   Loups ou pas loups? Deux théories s'opposaient, la première mettant en scène les loups, la seconde un animal dressé doublé d'un dangereux malade ( version relaté dans le film " Le Pacte Des Loups"). Les témoignages de l'époque, parfois contradictoires, les descriptions insuffisantes, l'absence d'autopsie sur les victimes et les loups abattus, rendent difficile le travail de reconstitution des faits. Pourtant, à la lumière de l'analyse des blessures infligées, de l'état de leurs restes, des caractéristiques des victimes (sexe, âge, localité d'origine), d'une meilleur connaissance du comportement des loups, G. Ménatory et J-J. Barloy affirment que la bête du Gévaudan n'était pas un loup, ni des loups, même si ceux-ci touchèrent aux cadavres, même si ceux-ci furent tués à sa place.
D'autres "bêtes" semèrent la terreur; Pourquoi ne furent-elles pas récupérées par la tradition populaire et ne parvinrent-elles pas jusqu'à nous? En août 1766, Sarlat, en Périgord, connaît des désordres semblables à ceux qui règnent en Gévaudan. Le chroniqueur de l'époque joua sur la similitude: "cet animal faisait le contraste de la Bête du Gévaudan"...car il semblait que celle-ci n'en voulait qu'aux hommes, au lieu que celle du Gévaudan attaquait les femmes de préférence.m-lise
 
        
        
 
 
 
 
 
 
 
Le loup et l’homme
Haïs par les pionniers et les éleveurs, les loups sont devenus des ennemis à abattre en 1900. Il a été exterminé dans tout l’Ouest américain mais également en Europe.
 
Le dernier loup français aurait été tué dans le Limousin en 1937. C’est en 1992 que l’on aperçut, par hasard, deux loups dans le parc du Mercantour, dans les Alpes. On pense qu’ils venaient d’Italie. C’est seulement cette année là que le loup a obtenu le statut d’espèce protégée en France.
Il a également fait sa réapparition en Suisse, en Allemagne, en Finlande et même en Israël.
 
 
 
 
 
 
Nos amis les loups
 
 Quand ont connait mieux la vie sur les loups, ont s'apperçois qu' ils  sont quand même bien utile sur notre terre et ne sont pas aussi méchant que l'ont veut bien le dire où le laisser parraître .m-lise
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
           
   
 
 
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